Une telle certification donne un cadre d’exigences afin de mettre en œuvre un smsi : système de management de la sécurité de l’information. Ce dernier a pour but de protéger vos données contre le vol, les intrusions et sinistres : un gage rassurant pour vos partenaires. Une amélioration de la sécurité
Les risques liés aux fonctions et informations de l’entreprise concernée sont diminués par la certification ISO 27001. Celle-ci définit des normes de protection proportionnées, en rapport avec le niveau de menace possible sur le smsi. Les mesures adoptées seront donc bien ajustées : ni trop strictes ni trop imprudentes. Les exigences à remplir pour obtenir cette certification sont contenues dans la norme 27001 composée de 10 chapitres auxquels il faut ajouter une annexe. Les points à contrôler ont pour ambition de mieux exploiter le système de management de la sécurité de l’information. L’annexe A contient pas moins de 114 mesures, elles-mêmes ordonnées en quatorze sections. Suivre ces exigences n’a pas forcément pour but d’obtenir la certification ISO 27001, l’un n’étant pas obligatoirement lié à l’autre. Toutefois, se faire certifier représente une finalité à cet égard. En effet, les partenaires éventuels de votre entreprise seront davantage confiants en un système doté de ce sésame, délivré par un organisme indépendant. Le processus commence par un premier audit. Pour tout savoir sur cette démarche, adressez-vous à un interlocuteur sérieux tel que certification-qse.com : une référence.
Un cycle codifié et balisé
Le premier audit imposé à l’entreprise qui requiert de se mettre en accord avec la norme ISO 27001 concerne l’ensemble du système de management de la sécurité de l’information. Les modalités de sa durée dont précisées dans l’annexe C de la norme ISO 27006. L’auditeur n’est pas chargé d’accorder la certification demandée par l’entreprise. Son rôle se limite à donner un avis qui sera examiné successivement par deux comités. Le premier a une mission de validation technique, tandis que le second certifie à proprement parler. Un certificat initial est alors accordé pour un cycle de trois ans. Si des problèmes ont été décelés au cours de l’audit initial, un autre est diligenté en complément. Il durera au maximum trois mois. Durant ce délai, l’entreprise ou organisme audité devra rectifier les difficultés signalées auparavant afin de pouvoir obtenir sa certification. Un autre audit est prévu, une fois par an durant le cycle de validité du certificat. Cette vérification périodique permet de vérifier si le système de management de la sécurité de l’information est toujours aussi fiable.
Un suivi au long cours
L’audit annuel met l’accent sur les écarts ou les points qui ne sont pas conformes aux exigences imposées. D’autres aspects sont également examinés de près comme le traitement des plaintes de l’entreprise concernée. L’auditeur qui intervient tous les ans contrôle aussi l’avancée des activités prévues. Il vérifie bien sûr si le système de management de la sécurité de l’information reste viable. D’autres clauses au libre choix de l’auditeur font l’objet d’une attention particulière. Lorsque des non-conformités sont relevées au cours de l’audit de contrôle annuel, le certificat se voit suspendu et peut éventuellement être annulé. Enfin, un audit de renouvellement de certification a lieu quand le cycle des trois ans arrive à échéance. Ce bilan tient compte du dernier audit annuel. Il porte aussi sur les audits de surveillance qui ont précédé. Les performances antérieures du système de management de la sécurité de l’information sont prises en considération. Les avantages de la certification en question sont nombreux. Les audits qui l’accompagnent permettent une amélioration continue de la maîtrise des risques. Seules les mesures de sécurité utiles sont maintenues.
Une entreprise qui inspire confiance
Une fois certifié, un organisme a des atouts pour convaincre des partenaires, rassurés par ce gage officiel. De plus, cette référence est reconnue à l’échelle internationale : une caractéristique très importante pour les sociétés partenaires ayant un rayonnement dans plusieurs pays. Le processus de certification s’avère simple et profitable, au final. Les entreprises concernées réduisent leurs coûts en renonçant aux mesures de sécurité superflues. Les audits peuvent en outre être mutualisés. La norme ISO 27001 offre des modèles explicites et fiables. Ce standard propose également des indications de pilotage budgétaire aux directions générales. Une telle norme clarifie parfaitement les risques potentiels encourus par l’entreprise ainsi que les coûts associés. Un accompagnement sur mesure pour se faire certifier facilite l’accès à ces avantages. Une feuille de route pour la mise en œuvre du système de sécurisation vous est présentée en détail. Les différents types d’audits ont pour fonction d’évaluer avec régularité l’efficience des mesures adoptées pour garantir ou améliorer la fiabilité de votre système de management de la sécurité de l’information.